Depuis 1948 et plus encore le 07 octobre, les Palestiniens endurent des souffrances intolérables.
Ces derniers mois, la situation s’est dramatiquement aggravée, avec une pénurie criante d’eau et de nourriture qui frappe les plus jeunes de manière disproportionnée.
Face à l’inaction des Nations Unies et au silence assourdissant des gouvernements arabes, les Palestiniens se retrouvent isolés et livrés à eux-mêmes, victimes d’atrocités sans nom perpétrées aveuglément par les sionistes.
Cependant, de multiples initiatives de solidarité se multiplient, bien décidées à faire taire les armes et à briser le cycle de la violence.
Des manifestations pacifiques (sit-in, marches, etc.) prennent d’assaut les rues, tant dans les pays arabes qu’en Europe et en Amérique. La mobilisation des étudiants américains, dans des universités de renommée mondiale, en est un exemple emblématique.
Par ailleurs on a remarqué l’omniprésence du drapeau palestinien dans des activités sportives, culturelles et artistiques de par le monde.
Le message est clair et univoque : le monde entier clame haut et fort son indignation face à la souffrance des enfants, des femmes et des hommes palestiniens « Free Palestine » : ce slogan, scandé aux quatre coins de la planète résonne comme un appel à l’action, une exigence de justice et un serment de ne jamais abandonner les plus vulnérables d’entre nous.
En effet, la Palestine fut et demeurera libre coûte que coûte, car ses habitants croient fermement qu’elle leur appartient et que nul autre ne pourra la confisquer.
Bien que l’inégalité des forces et des moyens soit flagrante, il est évident que le Hamas, et avec elle toute la résistance palestinienne, gagnera ce conflit.
Bravo aux Palestiniens qui malgré la famine et la précarité nous donnent des leçons d’audace et d’héroïsme.